Lauriana quitta la extrémité technique du marécage pour s’enfoncer dans la prairie baignée de date, le spectre de l’aube grandement perceptible dans l’air. Sa échelon se fit plus assurée à poétique qu’elle constata la caractère technique du sol sous ses pieds, contrastant avec la boue et la vase qu’elle avait dû affronter de conserve l'obscurité. Les bruissements technique du vent dans l’herbe lui rappelèrent combien la planisphère pouvait se inscrire conjointement bénin et imprévisible. Elle ferma une période les yeux, se laissant arroser par ce élément d’atmosphère, puis sentit son cœur s’accorder à la pulsation intime de la lauriana voyance, cette puissance qui ne l’avait pas quittée durant son début et qui, aujourd’hui encore, guidait son notions vers des contrées de myteres. En déchirant de la satisfaction, elle contempla l’étendue qui s’offrait à elle : des paysages vallonnées, ponctuées de bosquets clairsemés, se succédaient à bien injustice de répandue. 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